ANNONCE DES LAURÉAT-ES DE LA SEPTIÈME ÉDITION DES PRIX VOIX AUTOCHTONES POUR LES OUVRAGES PUBLIÉS EN ANGLAIS ET EN FRANÇAIS

Le 21 juin 2024 : Les Prix voix autochtones, le seul grand prix littéraire canadien à célébrer la créativité et l’excellence des œuvres publiées et inédites d'écrivain·es autochtones émergent·es, ont annoncé aujourd'hui les noms des lauréat·es dans les catégories d’œuvres récemment publiées en anglais et en français, attribuant un total de 20 000 $ à Brandi Bird (Première nation Peguis), Alicia Elliott (Mohawk), Georges Pisimopeo (Cri de Waswanipi), J. D. Kurtness (Pekuakamiulnu), Alexis Vollant (Innu) et Soleil Launière (Pekuakamishkueu). 

Le mois dernier, les PVA ont annoncé les lauréat·es dans les catégories poésie et prose inédites en anglais. Les huit finalistes ont reçu un prix de 500 $ chacun·e, ainsi qu'un soutien éditorial et une éventuelle publication par le magazine Yarrow. Les lauréat·es sont Leah Baptiste (Première nation Deline), Hannah Big Canoe (Première nation Chippewas de Georgina Island), sakâw laboucan (Première nation Woodland Cree), Jordan Redekop-Jones (d’origine autochtone/anglo-indien), Dennis Allen (Inuvialuit), Jenn Ashton (Sḵwx̱wú7mesh), Henry Heavyshield (Kainai) et Kaitlyn Purcell (Première Nation de Smith’s Landing).

Les PVA ont débuté en 2017 avec une campagne de sociofinancement d’un peu plus de 115 000 $ et, à ce jour, un total de 206 000 $ a été décerné à des écrivain·es autochtones émergents de tous âges et travaillant dans une variété de genres littéraires et de langues. Au cours des trois dernières années, dans le cadre du festival littéraire Metropolis bleu à Montréal, les PVA ont également remis 20 000 $ en prix pour honorer des écrivain·es autochtones établi·es travaillant en anglais et en français.

« Nous sommes ravi·es de partager avec vous les lauréat·es du concours de cette année », a déclaré Billy-Ray Belcourt, coprésident des IVAs (le volet anglophone des prix). « Tou·tes les finalistes représentent la puissance et l’étendue des écritures autochtones au Canada. Les Prix voix autochtones sont rendus possibles par le travail de nos estimé·es membres du jury et soutenus par les lecteur·rices de partout au pays. J'espère que vous fêterez cela avec nous en lisant quelques-uns (ou chacun !) de ces merveilleux livres ».

Pour en savoir plus, consultez le site IndigenousVoicesAwards.org.

Les lauréat·es des Prix voix autochtones en 2024

Œuvres publiées en anglais et en français

 

Le prix dans la catégorie Prose publiée en anglais est décerné à Alicia Elliott (Mohawk) pour And Then She Fell (Doubleday Canada).

Citation du jury :

With horror and humour, tenderness and teachings, And Then She Fell grips you from page one and never lets go. Alice, a young Haudenosaunee mother, journeys through a kind of looking glass to create a mesmerising investigation of the messiness of motherhood, mental illness, the Disneyfication of honoured ancestors, micro and macro aggressions against Indigenous peoples, and the power of story. Alicia Elliott has written a smashing debut novel that heralds the arrival of a thrilling new voice in fiction.

 Les finalistes de cette catégorie comprenaient également : 

There is Violence and There is Righteous Violence and There is Death ou, The Born-Again Crow (Playwrights Canada Press) de Caleigh Crow (Métis) ; Truth Telling (HarperCollins Canada) de Michelle Good (Nation Crie de Red Pheasant) ; The Secret Pocket (Orca Book Publishers) de Peggy Janicki (Première Nations de Nak'azdli Whut'en) illustré par Carrielynn Victor (Stó : lō) ; Green Fuse Burning (Stelliform Press) de Tiffany Morris (Première Nation de Eskasoni) ; et Unbroken (Greystone Books) d'Angela Sterritt (Gitxsan).

Le prix dans la catégorie Poésie publiée en anglais est décerné à The All + Flesh (House of Anansi Press) deBrandi Bird (Première nation de Peguis)

Citation du jury : 

In The All + Flesh, Brandi Bird creates the world out of the mud, like zhashk (muskrat) for their readers. This is a skillfully crafted collection, with so much care for form, their readers, and their community. A world of dizzying sickness and punch-to-the-gut heartache, Bird takes us in and leaves us wordless, breathless, the reader doubled over, curling into the poem. “How miraculous / to be water everywhere,” Bird writes—and with their visceral and reflective language, Bird surrounds the reader. How miraculous for Bird’s poems to become the water, for the reader to be sitting in the river of this work, feeling pulled and pushed and sinking into the earth. The call of a poem song invites us in and yet reminds us that even though we are all water, there are spaces between us, between the lines, mud slipping between fingers. If I am a lake let Bird’s poems “fall / & fossilize / at the bottom” of me.

Les finalistes dans cette catégorie comprenaient également : 

acâhkos nikamowini-pîkiskwêwina : nêhiyawi-kîsik âcimowin-The Star Poems : A Cree Sky Narrative (Your Nickel's Worth Publishing) de Jesse Rae Archibald-Barber (Cri-Métis); Elements (Inhabit Media) de Jamesie Fournier (Inuit) traduit par Jaypeetee Arnakak (Inuit) ; Building a Nest from the Bones of my People (Invisible Publishing) de Cara-Lyn Morgan (Métis).

 

Le prix dans la catégorie Récit et fiction en français est partagé entre deux lauréat·es :

Georges Pisimopeo pour Piisim Napeu (Éditions Hannenorak)

et J.D. Kurtness pour La vallée de l'étrange (L’instant même).

Citation du jury :

En lisant les récits de Georges Pisimopeo, on a l’impression de l’entendre nous confier prudemment, par égard pour nos sentiments, les fruits d’une vie passée à apprivoiser les émotions vives et à cultiver la paix et la guérison. Prière, journal, pensée, billet doux, le recueil exsude la bienveillance envers l’humain en même temps qu’il remue sans mâcher ses mots les souvenirs noirs et douloureux causés par le colonialisme. Georges Pisimopeo signe ici un témoignage porté par une voix avec laquelle on se sent en résonance. On entre en écoute, on s’assoit avec les histoires et avec les émotions avec curiosité et compassion.

Bref roman dont on imagine déjà le succès si Netflix en faisait une série, La vallée de l’étrange de J.D. Kurtness manifeste les qualités d’écriture de son autrice: un art de la synthèse du récit qui évalue en les décrivant les multiples facettes de l’humanité dystopique, et fait varier la vitesse et la densité des histoires racontées pour nous transporter dans un véritable attrape-lecteur·ice! Humour et gravité, banal et bizarre, comme les poupées intelligentes racontées, le roman fascine aussi parce qu’il nous renvoie une image de nous-même à la fois étrange et familière - tout en présentant le point de vue indécidable de la méchante Brigitte, l’inventeuse postmoderne qui fait rire et grincer des dents. Le mal est-il vraiment dans l’invention?

Figurait également parmi les finalistes de cette catégorie Envole-toi, Mikun (Éditions Hannenorak) de Moira-Uashteskun Bacon (Pekuakamiulnu), auquel les membres du jury décernent une mention coup de cœur.

Le prix dans la catégorie Poésie et théâtre en français est partagé entre deux lauréat·es :

Soleil Launière pour Akuteu (Les éditions du remue ménage) et

Alexis Vollant pour Nipinapunan (Éditions Hannenorak).

Citation du jury :

Journal, confession, monologue poétique, Akuteu de Soleil Launière soulève les questions identitaires individuelles et collectives de l’autochtonie urbaine contemporaine. Mélangeant des tonalités tendres, plus immédiatement poétisantes, attentives à la valeur et à la sonorité du phrasé, et une verve oralisée et parfois trash faite de code-switching, la voix questionne, dénonce, recherche, puis affirme: “Est-ce que je l’ai trouvé, moi, mon clan?/J’attends encore toujours un confirmation, une réponse”; “Ça marche/Ça revendique/Ça veut parler/Ça veut naître/Ça/Je vous l’offre aujourd’hui/Chaque naissance rétablit la justice/Je m’accouche/à moi-même”.

 

Ce puissant premier recueil d’Alexis Vollant fait alterner avec brio les pensées de l’intime et les sensations tendues. Le poème fait entendre les accords d’une langue qui raconte d’une même voix sensible et sonore le familier lointain et l’exotique tout proche: “[…] tu te syntonises/95.1 - Ntetemuk, écoutez/écoutez les soeurs du nord ricaner/en préparant leur confiture/pendant que les petits-enfants/jouent sur la galerie avant/écoutez les neiges subites/et les trompettes farouches la nuit/terrorisant les ours qui s’approchent/encore plus chaque année”. Mais le regard nostalgique n’est pas dupe des luttes encore à mener pour renverser l’effacement: “Ils nous ont appelés “Sauvages”/car ils ont vu qu’on était libres/effrayés par nos rouages/saignants de fluidité/ils nous ont castrés/car nos esprits étaient divins/et qu’il faut tuer l’animal dans le dieu/il n’y a pas de mot “liberté” dans ma langue/tu dis qu’on peut peut-être la trouver/mais puisqu’on l’a perdue/il nous faudra l’inventer.”

Parmi les finalistes de cette catégorie, figurait également Marguerite : le feu (Les herbes rouges) d’Émilie Monnet (Anishinaabe et française).

Les membres du jury de l’édition 2024 des PVA étaient Frances Koncan, Emily Riddle, Shelagh Rogers, Smokii Sumac, Jordan Abel, Francis Langevin et Maya Cousineau Mollen. 

Parmi les finalistes des précédentes éditions des PVA dans les catégories non publiées qui ont ensuite publié leurs textes, citons Francine Cunningham, Marie-Andrée Gill, Elaine McArthur, Smokii Sumac, Francine Merasty, Amanda Peters, Cody Caetano et Brandi Bird. Plus de 50 œuvres d’écrivain·es des PVA se trouvent également dans Carving Space : The Indigenous Voices Awards Anthology, un ouvrage publié par McClelland & Stewart (2023) et coédité par Jordan Abel, Carleigh Baker et Madeleine Reddon.

Les Prix voix autochtones (IVA) est un concours littéraire qui vise à honorer la souveraineté des voix créatives autochtones, ainsi qu’à soutenir et à encourager le travail des écrivain·es autochtones sur les terres revendiquées par le Canada. Les PVA occupent une place de plus en plus importante dans le paysage littéraire, car ils ont mis en valeur et défendu le travail de 125 écrivain·es autochtones, faisant découvrir à des publics du monde entier de nouvelles voix littéraires convaincantes.

Vous pouvez soutenir les Prix voix autochtones par l'intermédiaire de la Fondation des arts de l'Ontario : https://oafdn.ca/make-a-donation/.

Les Prix voix autochtones bénéficient du soutien généreux du Pamela Dillon & Family Gift Fund, de Penguin Random House Canada, du Centre for Equitable Library Access (CELA) et de Scholastic Canada. En outre, les coprésident·es des PVA remercient Douglas & McIntyre pour le don d’une partie de ses ventes de What Comes From Spirit de Richard Wagamese et des redevances de la réédition récente de Days of Augusta, de Mary Augusta Tappage Evans. Les coprésident·es des PVA remercient également les nombreuses personnes qui ont fait des dons au fonds de financement participatif des PVA au fil des ans. D'autres donations sont les bienvenues et toujours très appréciées : veuillez consulter le site IndigenousVoicesAwards.org pour plus d'informations.  

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Galerie des médias - IVAS 2024

 

Huit écrivain·es sont aussi récompensé·es pour l’excellence de leurs textes inédits 

Le 7 mai 2024 : Les Prix voix autochtones représentent le seul prix littéraire d’importance à célébrer la créativité et l’excellence des œuvres publiées et inédites d’écrivain·es autochtones émergent·es. Aujourd’hui, les PVA ont annoncé les finalistes pour les œuvres récemment publiées en anglais et en français, ainsi que les lauréat·es pour la poésie et la prose inédites en anglais. Les lauréat·es des prix pour les catégories d’œuvres publiées seront annoncés le 21 juin prochain. Pour plus d’informations, consultez le site : IndigenousVoicesAwards.org.

Nous accueillons une nouveauté cette année : l’administration des catégories de textes non publiés des PVA a été remaniée afin de distribuer les honneurs à tous les finalistes respectif·ves, sous la forme de prix de 500 $ chacun, ainsi que d’un soutien éditorial et d’une éventuelle publication par le magazine Yarrow. Yarrow est un magazine numérique récemment lancé et cofondé par Jordan Abel, Conor Kerr, Jessica Johns et Chelsea Novak. Son mandat est de publier les meilleurs écrits littéraires autochtones, nouveaux et établis, dans les domaines de la poésie, de la fiction et de la non-fiction en anglais, et de fournir un espace sûr aux éditeur·rices émergent·es pour qu’ils apprennent à éditer des écrits autochtones.

« Je suis toujours très heureux de découvrir de nouveaux écrits d’auteur·rices autochtones émergent·es et de créer un espace où ces écrits peuvent être partagés », a affirmé Abel. « J’espère que le partenariat entre le Yarrow et les PVA contribuera à faire connaître l’incroyable travail auquel se livrent déjà ces écrivain·es émergent·es ».

Lauréat·es des Prix voix autochtones — Poésie inédite

“Coming of Age” de Leah Baptiste (Deline First Nation)

“Nana Bush Trails and Four Others” de Hannah Big Canoe (Chippewas de Georgina Island First Nation)

“styrofoam love” de sakâw laboucan (Woodland Cree First Nation)

“On the Threshold, I Taste Lightning” de Jordan Redekop-Jones (mixed Indigenous/Anglo-Indian)

Lauréat·es des Prix voix autochtones — Prose inédite

“Kristopher with a K” de Dennis Allen (Inuvialuit)

“Hungry” de Jenn Ashton (Sḵwx̱wú7mesh)

“Our Rez Anomaly” de Henry Heavyshield (Kainai)

“łuk’é náte” de Kaitlyn Purcell (Smith’s Landing First Nation)

 

Les finalistes des Prix voix autochtones 2024

Œuvres publiées en anglais et en français

Prose en anglais
There is Violence and There is Righteous Violence and There is Death or, The Born-Again Crow
(Playwrights Canada Press) de Caleigh Crow (Métis)

And Then She Fell (Doubleday Canada) de Alicia Elliott (Mohawk)

Truth Telling (HarperCollins Canada) de Michelle Good (Red Pheasant Cree Nation)

The Secret Pocket (Orca Book Publishers) de Peggy Janicki (Nak’azdli Whut’en First Nation) illustré par Carrielynn Victor (Stó:lō)

Green Fuse Burning (Stelliform Press) de Tiffany Morris (Eskasoni First Nation)

Unbroken (Greystone Books) de Angela Sterritt (Gitxsan)

Poésie en anglais

The Star Poems (Your Nickel’s Worth Publishing) de Jesse Rae Archibald-Barber (Cree-Métis)
The All + Flesh (House of Anansi Press) de Brandi Bird (Peguis First Nation)
Elements (Inhabit Media) de Jamesie Fournier (Inuit) traduit par Jaypeetee Arnakak (Inuit)
Building a Nest from the Bones of my People (Invisible Publishing) de Cara-Lyn Morgan (Métis)

Récit et fiction en français
La vallée de l’étrange (L’instant même) de J. D. Kurtness (Pekuakamiulnu)
Piisim Napeu (Éditions Hannenorak) de Georges Pisimopeo (Cree from Waswanipi)
Envole-toi, Mikun (Éditions Hannenorak) de Moira-Uashteskun Bacon (Pekuakamiulnu)

Poésie et théâtre en français

Akuteu (Les éditions du remue ménage) de Soleil Launière (Pekuakamishkueu)
Marguerite : le feu (Les herbes rouges) de Émilie Monnet (Anishinaabe et Française)
Nipinapunan (Éditions Hannenorak) de Alexis Vollant (Innu) 

« Les IVAs/PVA ont été créées il y a plus de sept ans, sous l’impulsion de personnes de toute l’île de la Tortue désireuses de célébrer et de soutenir la production littéraire autochtone dans sa grande diversité et sa complexité. Il est incroyable de constater que les œuvres autochtones, dans tous les genres, et produites par des écrivain·es de tous âges, sont de plus en plus appréciées et connues. Et nous avons eu l’honneur de soutenir les étincelles d’inspiration des écrivain·es émergent·es en particulier, afin d’élever leur travail grâce aux IVAs/PVA. Comme toujours, nous vous invitons à inscrire les œuvres récompensées cette année sur vos listes de lecture et à envisager de faire un don aux IVAs/PVA afin que ces récompenses se poursuivent pendant de nombreuses années encore ». — Deanna Reder (Cree-Métis) et Sophie McCall, chercheuse allochtone, coprésidentes des IVAs en 2024.

Cette année, Billy-Ray Belcourt (Cri) et Carleigh Baker (Métisse) se sont joints à Deanna Reder et Sophie McCall en tant que co-président·es des Indigenous Voices Awards pour les écrits en anglais dans les catégories Prose publiée (5 000 $) et Poésie publiée (5 000 $). Marie-Eve Bradette (Université Laval) et Sarah Henzi (SFU), toutes deux chercheuses allochtones, sont les co-présidentes des prix francophones (Prix voix autochtones) — Récit et fiction publiés en français (5 000 $) et Poésie et théâtre publiés en français (5 000 $).

Les membres du jury de l’édition 2024 des PVA sont des écrivain·es et des universitaires reconnu·es et primé·es : Frances Koncan, Emily Riddle, Shelagh Rogers, Smokii Sumac, Jordan Abel, Francis Langevin et Maya Cousineau Mollen.

À ce jour, les PVA ont attribué 182 000 $ à des écrivain·es autochtones émergent·es de tous âges, travaillant dans une variété de genres et de langues. Parmi les finalistes des PVA dans les catégories non publiées qui ont ensuite publié leurs œuvres, citons Francine Cunningham, Marie-Andrée Gill, Elaine McArthur, Smokii Sumac, Francine Merasty, Amanda Peters, Cody Caetano et Brandi Bird. Plus de 50 œuvres d’écrivain·es des PVA se trouvent également dans Carving Space : The Indigenous Voices Awards Anthology publiée par McClelland & Stewart (2023), coéditée par Jordan Abel, Carleigh Baker et Madeleine Reddon.

Les Prix voix autochtones (PVA) sont un concours littéraire qui vise à honorer la souveraineté des voix créatives autochtones, ainsi qu’à soutenir et à encourager le travail des écrivain·es autochtones sur les terres revendiquées par le Canada. Les PVA occupent une place de plus en plus importante dans le paysage littéraire. Ils ont permis de mettre en valeur et de défendre le travail de plus de 110 écrivain·es autochtones et de faire découvrir à des publics du monde entier de nouvelles voix littéraires convaincantes.

 Pour plus d’informations, consultez le site IndigenousVoicesAwards.org.

Il est possible de soutenir les Prix voix autochtones par l’intermédiaire de la Ontario Art Foundation, à l’adresse suivante : https://oafdn.ca/make-a-donation/.

Les Prix voix autochtones bénéficient du soutien généreux du Pamela Dillon & Family Gift Fund, de Penguin Random House Canada, du Centre for Equitable Library Access (CELA) et de Scholastic Canada. En outre, les co-président·es des IVAs remercient Douglas & McIntyre pour le don d’une partie de ses ventes de What Comes From Spirit de Richard Wagamese et des redevances de la réédition récente de Days of Augusta, de Mary Augusta Tappage Evans. Les co-président·es des PVA remercient également les innombrables donateur·rices qui ont contribué à la campagne de sociofinancement des PVA au fil des ans. D’autres dons sont toujours les bienvenus et très appréciés : veuillez consulter le site IndigenousVoicesAwards.org pour plus d’informations. 

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Les PVA sont un concours littéraire qui vise à honorer la souveraineté des voix créatives autochtones, ainsi qu’à soutenir et nourrir le travail des écrivain·e·s autochtones sur les terres revendiquées par le Canada. Les PVA occupent une place de plus en plus importante dans le milieu littéraire : au cours de ses sept années d’existence, les PVA ont mis en valeur et soutenu le travail de plus de 100 écrivain·e·s autochtones émergent·e·s, faisant ainsi connaître, à différents lectorats à travers le monde, de nouvelles voix autochtones en littérature. 

Les Prix voix autochtones reçoivent un soutien généreux de la part de Pamela Dillon & Family Gift Fund, de Penguin Random House Canada, du Centre for Equitable Library Access (CELA), de Scholastic Canada, and de la Giller Foundation. En plus, les co-président·es des PVA reconnaissent le support de Douglas & McIntyre pour le don d’une partie des ventes de What Comes From Spirit de Richard Wagamese, et d’un nombre incalculable de personnes qui soutiennent les Prix voix autochtones, puisque ceux-ci ont été rendus possibles par des dons nombreux au fil des années. Les donations sont toujours la bienvenue et grandement appréciées. Vous pouvez visiter le IndigenousVoicesAwards.org pour plus d’informations. 

POUR LES PRIX EN FRANÇAIS

Prix Voix Autochtones/ Marie-Eve Bradette

Pavillon Louis-Jacques-Casault

1055, avenue du Séminaire, local 4423

Université Laval

Québec (Québec) G1V 0A6

Lisez autochtone! Prenez connaissance des œuvres publiées par les personnes nominées et les récipiendaires des PVA : indigenousvoicesawards.org/read-indigenous

Le logo des PVA a été créé par Lou-ann Neel (Kwakwaka’wakw).

Pour des images, des entrevues ou pour des informations supplémentaires, veuillez contacter :

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